La fin d'une histoire

Il y a des histoires que je ne t’ai pas raconté.

De ces histoires qui sont finies et c’est inhabituel et rare de dire que quelque chose se termine ou alors c’est pour annoncer qu’on commence autre chose d’autre d’extraordinaire, bien souvent, que c’est un mal pour un bien, bla bla bla.

La justification semble de mise pour dire c’est fini et je m’y soumets aussi, je l’avoue.

Mais pas toujours.

La fin d’une histoire, d’une série télé, d’un film, d’un roman avec lesquels nous avons été si intimes, notamment avec ses personnages ou bien tout simplement les personnes avec lesquelles nous avons partagé cette aventure, et bien, parfois elle est dure à avaler et longue à oublier, quoi qu’on en dise.

La fin d’une histoire d’amour, d’une histoire entrepreneuriale, collective, associative, d’une histoire d’amitié ou de l’histoire d’une construction, d’une rénovation, oui, ce sont aussi des fins.

Pourquoi est-ce si difficile de « laisser tomber », d’oublier, d’écrire le mot « fin » ?

Pour moi qui ai vécu une fin d’histoire maritale et de home sweet home simultanément et de façon abrupte, comme une chute sans fond, c’est cette peur du vide, du rien qui m’a parcourue tout d’abord.

Cette peur qui rassemblait toutes mes peurs.

Tout me faisait peur.

Sur ma route était une personne, psychologue affichée mais pas que, et surtout tellement plus.

J’ai compris avec l’aveu de cette peur démesurée qui m’occupait, telle un monstre, qui prenait toute la place, que cette personne alliée sur mon chemin, a mis en place une sécurité en tout premier lieu.

Et quand je dis sécurité, les images qui viennent sont plutôt barrières, contrôles, casques, enfin, se protéger physiquement surtout.

Or là, c’est en moi que ça se passait.

Comment a-t-elle mis fin à cette peur qui rassemblait toutes mes peurs ? Je ne l’ai compris pas à ce moment mais quelques mois plus tard, avec la découverte de techniques comme l’hypnose thérapeutique, l’EFT ou la kinésiologie.

Aujourd’hui, si je parle si facilement de ces thérapies comme on dit, c’est qu’en mettant fin à cette peur – qui en cachait d’autres -, c’est qu’elles m’ont ouverte à d’autres perspectives, d’autres voies, d’autres chemins, d’autres guérisons, bien physiques celles-là, comme une allergie fortement handicapante de 30 ans.

Me reviennent alors ces fins d’histoires maintenant que je m’apprête à en clore certaines, comme me retirer d’organisations avec lesquelles j’ai terminé mes tâches, quitter mon logement pour la maison de mes rêves, en finir avec un célibat voulu, certes, mais qui n’est plus en adéquation avec mes envies.

Voilà !

Je ne sais pas ce qu’il y a derrière toutes ces fins d’histoires, ce que je sais est que j’en commence une très surprenante et qui ne m’aurait pas effleurée il y a  6 ans : les Routes du Bien-Être, une application qui répertorie et cartographie les professionnels sur notre chemin.

À suivre…

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