Comment te dire ?

Dans cet article, j’ai bien envie de te raconter mes déboires avec mes commandes de livres.

J’avais choisi Amazon pour s’occuper de tout.

Peut-être le sais-tu ou pas, mais quand on est indépendant comme moi, cela veut aussi dire se faire payer pour ses services, ses produits, etc.

Et pour cela, et bien, il existe des tas de solutions sécurisées comme on dit. A commencer par mon site que j’ai choisi justement pour pouvoir accepter les paiements de ceux et celles qui voudraient bien mais qui sont encore réticents avec Amazon particulièrement.

Moi, ce que je trouve bien avec le service qu’offre Amazon pour les auteurs, c’est que je n’ai à m’occuper ni du paiement, ni de l’impression de mes livres, ni de l’expédition.

Tout comme, en choisissant de m’auto-éditer, j’ai découvert il y a une dizaine d’années que le métier d’éditeur, et bien, c’est tout un panel de services.

Pour cela, je t’invite à retrouver mes aventures en auto-édition sur cette dizaine d’années (Et oui !) que je propose en 7 épisodes d’un Podcast.

Et aujourd’hui, et bien, le E-Commerce, c’est aussi tout un Binz.

Pour en revenir à Amazon et à l’effet de résistance de certains de mes clients qui me challengent pour que je calcule les frais, l’expédition, le poids…, il est reconnu que, de tout temps, environ 30% de la population résiste au changement et cela s’est vu pour beaucoup de nouvelles innovations comme le train ou la voiture.

Cela me fait penser au film d’Orson Welles, La Splendeur des Amberson, qui retrace l’arrivée de l’automobile dans une petite ville et qui voit la fortune d’un jeune ambition se faire au détriment des vieilles familles aristocratiques qui se reposent sur leurs acquis.

Bon, où je veux en venir ?

Peut-être bien que certains ont rouspété après le train et pourtant, il fait partie de nos vies et nous le prenons sans nous poser de question sur “j’enrichis un tel ou un tel”, tout comme les voitures qui sont des lobbies et pourtant, moi qui suis en pleine campagne, la voiture est synonyme de liberté.

Puis, il y a eu la télévision, Mac Donald, Coca cola, les empires de Studio Cinéma puis Internet et aujourd’hui Amazon ou les plateformes comme Netflix qui sont les cibles premières de beaucoup.

Je n’y vois qu’un éternel recommencement.

Mac Do a-t-il disparu ? Coca ? (Sauf dans l’excellent film de Danny Boyle, Yesterday)

Non, ils sont là, non pas parce qu’ils sont critiqués, mauvais, ou je ne sais, non, ils sont là, en dépit de…

2020 a vu la démocratisation de l’achat sur Internet.

Apprends, Madame, Monsieur, que derrière chaque paiement en ligne, il y a un service qui se paie et c’est comme ça aussi sur mon site.

Tout ne va pas dans ma poche.

Bon, allez, je finis sur une note gaie avec ma dernière vidéo que je t’invite à visionner sur ma chaîne Youtube, enregistrée sur la plage où je parle (un peu) de ce qui fait l’objet de mon atelier en ligne Cinéma/Séries : Comment la Fiction façonne notre Réalité de samedi 28 mai, de 14H30 à 16H.

Attention, je ferme les inscriptions ce mercredi 25 mai.

Et sache que j’ai hâte de lire, d’écouter, d’entendre toutes les fameuses histoires que tu as au fond de toi.

Pour cela, choisis ton diagnostic gratuit et une séance découverte.

Belle semaine à toi,

Love,

Dominique