Communication Visuelle, perso, pro ?
Bonjour et merci encore à toi de faire partie de ceux et celles qui lisent mes newsletters, à retrouver sur mon site, onglet NEWS.
Je parle peu de ma situation personnelle mais là, j’en éprouve le besoin.
Je commence à bien connaître certains rouages des réseaux sociaux et de la communication numérique en général même si je sais que j’ai encore à apprendre et que, n’étant pas née avec, mes connexions neuronales sont à reconnecter.
C’est comme, m’avait raconté un narrative design (qui est le nom pour scénariste dans le milieu du jeu vidéo). Il m’avait donc dit que nos grands parents ou arrière grand parents, quand ils avaient vu arriver le train, avaient dû imaginer d’autres moyens de se déplacer et ça se fait, avant tout, dans nos têtes.
En bref, ce que j’ai compris, c’est que quand il y a des changements, des nouveautés, principalement au niveau des communications, c’est nos connexions neuronales, donc tout notre cerveau qui est impacté.
Nous devons chercher de nouveaux circuits pour relier les parties qui existent et de fait, certaines parties doivent mourir pour laisser place à d’autres.
Aussi, quand une veille personne me dit qu’elle perd la mémoire, ce n’est qu’une nouvelle organisation des informations qui se met en place, une sorte de tri en quelque sorte.
Fascinant, non ?
T’ai-je perdu ?
Aussi, être curieux comme je le dis souvent, imaginer, inventer, tester, aller vers la nouveauté, est un bien-être mental qui se répercute sur le physique.
Bien sûr, comme pour un effort sportif ou une nouvelle connaissance à acquérir, ça ne se fait pas en quelques secondes. Il y a besoin d’apprentissage.
As-tu appris tes tables de multiplications en un jour ? Ben non, et une poésie ? Pareil.
C’est la répétition, encore et encore.
Aussi, pour savoir distinguer le professionnel du personnel dans ce que l’on cherche sur Internet et les réseaux, c’est pareil, c’est s’entraîner et peut-être, se poser, se pauser.
Au lieu de cliquer sauvagement (allez, moi aussi, je le fais), prendre le temps de se demander ce que nous faisons (vraiment), ce que nous voulons (vraiment), dans quel monde nous évoluons (vraiment).
A savoir que plus de 70% des personnes pensent que leur représentation du monde est la même pour les autres.
Cela m’arrive aussi…
Donc, quoi faire ?
Je remets en contexte en respirant
Je me dis, quand je reçois un message ou un commentaire inapproprié qu’il appartient à celle ou celui qui l’écrit.
Et je m’empresse d’effacer, d’oublier, même si comme MYRTILE le dit “Mes Yeux Réalisent que Toute Image Laisse une Empreinte”.
Se positionner, Soi, se repositionner en permanence par rapport à ce qu’on veut permet d’aller au-delà de ces simples messages ou commentaires ou mails qui arrivent pour tester nos façons de réagir et l’adage de “tourner 7 fois sa langue dans sa bouche avant de parler” vaut pour ce temps de respiration à prendre absolument entre la question et la réponse que nous voulons donner.
L’émotion suscitée est bien là, qu’est-ce qu’elle me dit, non pas sur l’autre mais sur moi.
Et tout cela mis au clair permet de clarifier aussi les raisons pour lesquelles tu es accroché à ton téléphone, à tes réseaux, ou, à l’inverse, si tu en as une aversion profonde.
Mon programme d’accompagnement inclut cette technophobie ou cette addiction que je connais bien et entre lesquelles j’oscille bien souvent.
A bientôt de te compter parmi les personnes que j’accompagne.
D’autant plus que, pour un rendez-vous pris avant le 31 août et pour bien redémarrer en septembre, je propose un prix avec une réduction de 95 €.
A bientôt et bonne vacances !
Bises,
Dominique