Les Routes du Bien-Être - 24
« Tout ce que nous avons est le présent. Rester ancré dans le passé ou gaspiller du temps à imaginer l’avenir est inutile »
Les 12 lois du Karma, la Loi de l’ici et le Maintenant
Le dialogue, l’humanité et cesser de considérer la personne par sa maladie et lui redonner son statut d’homme ou de femme sont essentiels.
Cela, je l’ai vécu avec ma mère qui se sentait comme un cobaye. Ce qu’elle était peut-être mais qu’elle n’aurait pas dû ressentir dans le discours médical.
Aujourd’hui, on parle de médecine holistique. Moi, c’est ce que je vis depuis longtemps avec l’ostéopathie et l’homéopathie et que j’ai retrouvé avec la médecine traditionnelle chinoise et que je recherche avec chaque médecin, thérapeute ou pharmacien.
Entre nous, je ne fais plus trop la différence entre un vendeur ou un pharmacien (hormis si j’ai une ordonnance ou du paracétamol ou autre) et je me retrouve parfois à ingurgiter un médicament pour le bien de mon corps alors que mon esprit, mon âme vont mal mais ça, ce serait du domaine de la religion, de la psychiatrie, de la psychologie, pas de la médecine et c’est bien dommage !
De vouloir tout séparer en petites cases comme soigner le foie par exemple sans tenir compte des autres organes ou de la racine, l’origine… ou des émotions si présentes en médecine chinoise. N’y-a-t-il que la médecine occidentale qui soit la meilleure ?
Pour en revenir au cheminement qui m’a menée aux Routes du Bien-Être, il est passé par bien des étapes que j’ai vécues, soit à la suite les unes des autres, soit en même temps, de façon complémentaire.
Avec ma psy M., sans le savoir donc, j’ai expérimenté la kinésiologie, l’hypnose, la PNL et l’EFT (peut-être d’autres mais je ne les connais pas ou je ne les ai pas identifiées). Je suis même allée voir mon ostéopathe avec une demande qui m’a étonnée moi-même alors que jusqu’à présent, je me focalisais sur mes douleurs physiques. « Rééquilibrez-moi ! », je lui ai demandé.
Mon âme et mon moi profond, en se libérant, s’exprimaient par ma bouche.
À savoir que cette première année qui englobe six mois intensifs avec M. ma psy, de la méditation avec l’application Petit Bambou – une de mes inspirations pour les Routes du Bien-Être – de la sophrologie en groupe, du Qi Gong avec des livres d’abord puis en groupe avec un prof – même si pour l’anecdote personne ne s’est inscrit et que j’avais le prof pour moi toute seule ! –
Je fais un aparté sur la méditation qui me semblait à l’inverse de ce que je croyais en attendre. Aujourd’hui - et j’ai mis 6 mois à le comprendre ! - je sais que la méditation peut être relaxante, c’est vrai mais pas que, et à ce moment-là de ma vie, pas du tout ! C’était même stressant de me retrouver face à moi-même et à ce monde auquel je me confrontais alors que je me voilais la face !
La méditation, diront certains et certaines, ne sert à rien, et rien n’est à en attendre. C’est un concept difficile à accepter, c’est vrai, dans notre société qui repose beaucoup sur le matériel et le scientifique. La méditation ne répond à rien de concret et de matériel. Elle ne se mesure pas en performance ni en réussite ou en chiffres. Même si le moine Mathieu Ricard s’est livré à une expérience qui a prouvé que des parties de son cerveau avaient été modifiées par des années de pratique, à quoi est-ce que ça peut bien servir ?
Oui peut-être que des effets peuvent se faire sentir. Mais quels effets au juste ? Là est la question.