Spiritualité

TRANSFORMATION - 1

Il est de ces capacités dont les personnes parlent moins ou alors seulement en présence de celles et ceux avec lesquel.les elles se sentent « safe », en sécurité.

Vers l’adolescence, j’ai découvert, je ne sais pas comment, le tirage de cartes divinatoires, d’abord avec un jeu de cartes ordinaires à jouer puis avec un tarot de Marseille que mon amoureux m’avait offert avec un livre explicatif.

Tarot que j’ai encore.

Très vite, je me suis passionnée pour cet art divinatoire.

C’est aussi à ce moment-là que j’ai mes premières prémonitions, visions ? – même aujourd’hui, je ne sais pas comment les nommer –

C’était avec une cousine, enceinte, mais qui ne l’avait dit à personne, et qui se laisse tenter par mon tirage de cartes.

Je le faisais pour m’amuser et c’est peut-être ça qui faisait que ça marchait.

Donc, par 2 fois, avec cette cousine, je lui dis que je vois un enfant dans son jeu.

Stupéfaite, elle m’avoue être enceinte mais que personne ne le sait.

Ce moment est encore présent dans ma mémoire 40 ans après ! C’est que je vivais quelque chose d’important mais autour de moi, personne n’y a accordé d’importance justement.

Aujourd’hui et depuis 6 ans maintenant, cet évènement et d’autres aspects de ma vie s’éclairent différemment.

J’ai longtemps gardé ce jeu de tarot de Marseille et quelques amies me demandaient de leur tirer les cartes et je le faisais aussi pour moi, dans des moments d’indécision. - je l’ai encore ! -

Aujourd’hui, en quelques années, l’offre d’oracles a envahi les magasins pour mon plus grand plaisir, mon amusement et ma joie.

Ne pas oublier qu’on dit « jeu de cartes ».

Alors jouons !

Même si la religion catholique était venue contrecarrer et modeler ma pensée, reléguant les prédictions et autres voyantes avec les mécréants, j’avais l’impression d’avoir cette dualité en moi, comme un monde parallèle dans lequel j’évoluais parfois.

Certes, les religions reposent sur des textes dits sacrés, interprétés de telle façon que chacune y retire sa vérité.

Je faisais cette distinction entre ma foi et le dogme. Et lorsque les deux s’opposaient, j’étais mal à l’aise.

Mais ça, c’était avant que je n’accorde de l’importance à mes ressentis et que je les écoute.

En 2017, pour celles et ceux qui me connaissent, un tsunami envahit ma vie. Le père de mes enfants et moi, nous nous séparons après plus de 20 ans. Je raconte cette histoire sous forme de roman (pour ne pas exposer mes proches, le Tourbillon de la vie.

Cette séparation fut salutaire dans le sens où, conjointement à cette séparation, je prends la décision de consulter une psychothérapeute que je connaissais comme amie.

A savoir que pour moi, la psychothérapie, la psychologie et Cie, c’était de la foutaise, que ça ne servait à rien et que c’était pour les fous (même si j’en doutais de plus en plus).

J’ai donc fait volte-face et sans le savoir, comme on dit aujourd’hui, j’ai dépassé une croyance limitante.

Pour en savoir plus sur les croyances – non pas religieuses comme je pensais – je t’invite à me suivre sur mon espace Patreon où j’en parle dans mes ateliers –

Donc, pour en revenir à 2017/2018, Ma psy, comme on dit, pratiquait aussi l’hypnose, l’EFT, la kinésiologie… - de même rejoins-moi sur l’espace Patreon pour en savoir plus –

C’est fin 2017 que j’ai vécu ce que j’appelle ma nuit noire de l’âme où ce qui me crevait les yeux, bien que je ne le voie pas, m’apparut, comme l’illumination d’un monde parallèle.

Et là, j’ai fait un constat « on est heureux mais on ne le sait pas ».

Je pourrais parler des heures et des heures de cette révélation, aussi je t’invite à t’abonner pour ne pas manquer la suite.

Dominique Chailan, Autrice, Réalisatrice, Raconteuse d’histoires