Vers un monde plus responsable ?

Je lisais ce matin la newsletter d’une jeune femme qui parle de stratégies, de business et d’un tas d’autres mots que je ne connais pas encore suffisamment pour les retranscrire ici.

Je me dis que mes ambitions d’auteur sont bien loin de tout ce vocabulaire qui me fait entrer dans un autre monde que celui du roman, comme celui que je viens d’achever et dont je fais la promotion.

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Et oui, il semblerait que notre monde est en train de changer doucement.

Les actes que nous avons posés et que nous posons chaque jour peuvent avoir un poids, être un poids ou nous libérer.

À nous de choisir !

Comme autrice, j’avais déjà remarqué qu’il ne suffisait pas d’écrire, encore fallait-il le faire savoir et j’avais une espèce de pudeur mal placée que je pensais être de la modestie à parler de ce que je fais et à mettre en avant mes compétences.

J’étais toute étonnée lorsque quelqu’un de l’extérieur m’en faisait la remarque et des compliments.

Je sais aujourd’hui que je suis en manque depuis mon enfance de ces compliments qui font se construire un enfant et qui contribuent à son estime de lui.

Et pourtant la résilience, la fameuse résilience que beaucoup définissent sans l’avoir vraiment vécu. La résilience n’est ni plus ni moins être là pour parler de ce qui nous a fait mal.

Aussi mon roman puise, oui, dans mon histoire. L’héroïne peut me ressembler et je l’assume puisque je me suis inspirée de ma vie pour lui donner vie et oui, les évènements sont différents de ce que les uns et les autres pourraient y voir.

Pourquoi ?

Tout simplement parce que j’ai appris que 70% de nos souvenirs sont inventés et que cette histoire est donc un peu la mienne et surtout beaucoup de mon point de vue.

Le point de vue est quelque chose qui me fascine depuis longtemps comme de nombreux romans le montrent et que j’ai aimé (« Je te retrouverai » de John Irving, « D’après une histoire vraie » de Delphine le Vigan) Et il y a aussi les récits que nous connaissons tous et pourtant, les connaissons-nous vraiment ? (comme la mort de Kennedy)

Donc aujourd’hui, je parle de ce roman comme d’un aboutissement et d’un départ qui donnera lui à des suites qui sont déjà en écriture.

J’offre à la lecture les 2 premiers chapitres du Tourbillon de la vie, chronique d’une femme amoureuse, comme l’a fait Solange qui attendait avec impatience sa sortie. Cliquer ici

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En cela, j’aime le 21e siècle qui me permet de comprendre par moi-même le fabuleux travail que font les éditeurs et dont peut-être, ils avaient le monopole.

Aujourd’hui, je connais la valeur de mon livre et j’aime ce que j’ai écrit.

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Je suis heureuse de contempler ce magnifique ouvrage que j’ai produit avec l’aide d’une professionnelle à la relecture et à la correction.

Voici son avis “une belle histoire de femme, dans sa singularité et son universalité. On s'attache à Sabine, on se reconnaît dans ses doutes, ses joies, ses peines, cette vie qui défile à toute vitesse... Intéressant aussi d'avoir le "recul" de la Sabine plus âgée, de l'accompagner dans son cheminement, sa quête de soi. Et j'ai beaucoup aimé les "bonus" à la fin, les recettes, les poèmes... super idée !”

Je vous invite à retrouver son travail avec le magazine qu’elle a créé : Oxytanie.

Et cela nous va bien de travailler ensemble, puisque aucun stock de mon livre ne sera détruit puisque c’est une impression à la demande.

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Et retrouve sur les réseaux sociaux, quelques extraits et « pitchs » et de courtes présentations du Tourbillon de la vie, chronique d’une femme amoureuse

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