Si tu suis mon actualité, tu sais que j’ai de multiples activités. Récemment, j’en ai laissé tomber certaines, autant bénévoles que rémunératrices.

Par exemple, mes livres sont toujours en vente même si je n’y consacre plus autant d’énergie. J’ai appris que c’était un revenu actif qui est différent d’un revenu à l’heure.

Récemment pour une relecture de mon site par une prestataire freelance, je l’ai appris. Moi qui ne compte pas mes heures !

Je ne viens pas dire ici qu’une façon est meilleure que l’autre mais que nous avons le choix, quel que soit notre activité, salariée ou pas.

Une fois n’est pas coutume, je commence par une citation du livre Comment se faire des amis à l’ère numérique de Cale Carnegie et associés :

“Il faudrait toujours avoir à l'esprit la magie d'un nom, qui appartient pleinement à l'individu qui le porte et à personne d'autres. C'est sa marque. Après le don de la vie, c'est le premier cadeau qu'il a reçu.”

Il y a quelques années, j’ai écrit une pièce de théâtre en collaboration avec une classe de collège et leur prof de maths, une personne remarquable à plusieurs points de vue.

Je t’invite à retrouver ses actions sur instagram avec le compte @mathalors. Elle a l’origine d’un festival de maths qui vise à démocratiser les sciences en général. Mais ce n’est pas la seule action et celle à laquelle j’ai participé avec cette pièce de théâtre est pour mettre en lumière les femmes.

T’ai-je dis, que je suis nomade depuis bientôt 6 semaines ?

Je me demandais parfois ce que ça faisait de n’avoir que sa voiture, sa caravane ou tout autre véhicule aménagé et je me disais : rien. J’écoutais vaguement les critiques d’un mode de vie qui est loin de rassembler la majorité de la population.

La plupart d’entre nous et ainsi que je l’étais il y a 6 semaines avait un endroit où Revenir, comme un socle, comme une ancre qui est une base de vie.

Que faites-vous le dimanche ?

Il y a de nombreux évènements et pourtant, tout près de chez vous, peut-être chez votre voisin-ne, quelque chose se prépare...

Grâce à ma région (Occitanie) que j'adore. Il y fait bon vivre, j'y ai eu un accueil chaleureux il y a plus de 20 ans, la mer et la montagne sont à proximité et les actions sont à foison.

Grâce à ma région, j'ouvre mes portes aux visiteurs qui ont envie d'en savoir plus sur mon activité.

Et en plus, je suis dans un annuaire qui touche, je ne sais pas, plus de 5 millions de personnes !

Ouvert à tous, avec un scénario déjà écrit, une simple idée, un projet.

Série, Long Métrage, Court Métrage, Web série, Documentaire, Fiction… Tous les genres sont acceptés.

Professionnel et Amateurs acceptés.

L’idée est de se nourrir les uns les autres et selon des méthodes inédites basées sur la neuro linguistique, établir le storytelling de son film, première base d’élaboration.

Il y a quelques jours, je montais sur la scène de l’Onyx à Plaisance du Touch en Occitanie, près de Toulouse lors du Festival de Film de Fiction Historique aussi dénommé le FIFFH. C’était la cérémonie de clôture et je remettais le prix choisi par le jury de professionnels dont je faisais partie.

Ce prix était pour un court métrage, SAPE de Clémence Marcadier.

Je me suis sentie très émue de donner un prix à cette jeune femme qui est montée sur scène à côté de moi, là où se tenait peu avant Michel Boujenah.

Et mes ateliers s’adressent à TOUS : scénaristes, auteur(e)s, porteur(e)s de projets, « ceux/celles » qui ne savent pas encore quoi faire, ceux/celles qui ont juste une idée, ceux qui savent et veulent tester leur discours (ou pitch), ceux qui sont un peu perdus, des curieux…

Parmi les profils qui sont venus il y a des scénaristes, des réalisateurs, des écrivains, des créateurs d’entreprise, des salariés, des artistes, des coachs, des thérapeutes, des personnes en transition professionnelle, des « je ne sais pas trop quoi faire et comment faire… », en bref, ces ateliers sont bien plus que des ateliers. Ils sont une parenthèse avec soi-même.