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Billets d’Humeurs (aussi à écouter)
Les Routes du Bien-Être - Genèse 04
“L’impossible est le plus souvent quelque chose qui n’a pas été essayé”
Maud Ankaoua, Respire
Mon frère, comme nous l’avions si bien appris au catéchisme, disait que, comme saint Thomas, il ne croyait que ce qu’il voyait. Un formateur me dit : avez-vous vu saint Thomas pour y croire ?
Alors cette formulation ancrée en moi, je la change et je la répète souvent ; je vois ce que je crois. Et qu’est-ce que je choisis de croire ?
Je reviens sur la maladie de Charcot du grand-père paternel de mes enfants que nous ne vivions pas au quotidien. Leurs grands-parents habitaient à 1000 km de là et seul leur père y allait régulièrement à cette période.
Les Routes du Bien-Être - Genèse 03
Pareil que précédemment, ces articles titrés les Routes du Bien-Être sont un récit feuilletonnant, donc, aller lire les précèdent pour le résumé !)
“Quand les girafes attrapent un rhume et ont mal à la gorge, d’où à où souffrent-elles ?”
Michiko Aoyama (un jeudi saveur chocolat)
À la maison, je suis devenue l’intendante et même si je décide de réaliser à nouveau des vidéos, c’est difficile.
Avez-vous déjà eu cette sensation que lorsque vous entreprenez quelque chose, tout vous semble lourd et difficile, comme si vous marchiez dans la boue et que vos pieds étaient de plus en plus lourds ?
C’est comme si chaque action qui me réjouit, je la fais dans un brouillard si épais que je ne sais pas si j’y arriverai.
Je sais aujourd’hui que c’est un état dépressif.
Les Routes du Bien-Être - Genèse 02
(pour le début, je t’invite à lire l’article 01)
Cette série d’articles est sous forme feuilletonnesque.
“Nous sommes tous connectés les uns aux autres. Il suffit d’un lien pour que notre réseau s’étende progressivement. Si vous attendez le bon moment pour le créer, ce jour peut ne jamais arriver.”
Michiko Aoyama (la bibliothèque des rêves secrets)
Et c’est bien ça, les apparences ! Et penser que ce n’est peut-être que ça. Et que c’est valable pour tout et tout le monde et combien nous sommes surpris de découvrir que quelqu’un que nous croyons connaître va mal par exemple.
Et pour ne pas trop réfléchir, je faisais comme beaucoup, je n’y pensais pas sérieusement et je me noyais dans les activités. Outre l’intendance de la maison, du foyer, une omniprésence pour les enfants comme aller au collège en chercher un si besoin, traverser Toulouse aux heures de pointe pour en emmener un autre à son club sportif, me proposer comme volontaire pour être dans les coulisses d’un spectacle de fin d’année, j’étais aussi présidente d’une association, j’avais une part active au Centre Communal et je me suis même lancée en 2014 dans une campagne municipale avec les têtes de liste.
Tout ça ajouté au ménage, aux courses, à la cuisine et à ces élèves pour lesquels je passais du temps de préparation.
Les Routes du Bien-Être - 01
Avant-propos :
Je décide, après des années à protéger mes textes en payant un organisme dans l’attente d’un éventuel intérêt d’une maison d’édition, d’écrire ici la genèse de l’application les routes du Bien-Être qui met en scène des moments intimes de ma vie jamais dévoilés jusqu’ici.
Cela va se faire sous forme de feuilleton ici sur mon blog.
“L’écriture manuscrite est davantage liée aux mouvements du cœur”
Nathalie Goldberg
Au début…
Alors que je suis en panne sur le Tome 3 de la trilogie de mes romans, le Tourbillon de la vie (1 ; Chronique d’une femme amoureuse et 2 ; l’Égyptien, bien que le Tome 1 et le tome 2 soient édités et que près de 200 pages du Tome 3 soient écrites, j’éprouve aujourd’hui le besoin de raconter ici le projet des Routes du Bien-Être et de comment j’en suis arrivée à le concrétiser en cette année 2023.
Transformation - 7
Pour terminer cette série d’articles qui a commencé avec la spiritualité (à lire sur mon blog ou à lire précédemment) et que je souhaite finir avec la matière, me revoici sur ton écran.
Par matière, je parle de concrétiser, de ce qui est matériel.
Ce sont deux notions qui s’opposent et celui vient peut-être des religions qui prônent l’humilité et la pauvreté comme richesse.
C’est en ça que je me suis dit que les dirigeants catholiques ont eu du génie.
Pense que Richelieu et Mazarin étaient des 1ers ministres de rois et riches à souhait.
Les ecclésiastiques venaient de familles fortunées.
transformation - 6
Ainsi donc, je reviens sur cette relation avec nous-même que nous oublions parfois. Non pas dans le sens de s’écouter comme on l’entend de façon égoïste mais à un niveau plus profond, plus intime, plus introspectif.
Une connaissance de soi que je n’avais pas puisque l’éducation ne nous l’apporte pas, cette connaissance de soi, je l’ai englouti littéralement en peu de temps quand j’y ai eu accès et même si je me suis calmée, je continue.
Le savoir est infini et le savoir de Soi encore plus.
Transformation - 5
Donc, pour continuer sur le corps dont je parle dans mon dernier article de blog, à quoi ça sert d’être attentif à son corps ? à nos douleurs ? à notre respiration ? à nos points de blocage (et aussi aux endroits plus fluides) ?
Déjà, c’est accepter que nous sommes sur terre, humains, faits de matière
Transformation - 4
Après avoir – enfin – parlé de mon rôle de passeuse d’âmes dans l’article précédent, j’en arrive à faire le lien avec le monde matériel.
S’il y a une chose que personne, pas même moi, ne pouvons ignorer, c’est que nous vivons dans un monde matériel, fait de matière, de concret, d’une réalité palpable.
D’abord notre corps !
Communiquer avec Soi et les Autres
Dans mes articles précédents, je t’ai parlé de l’importance de la spiritualité et de comment elle est arrivée dans ma vie.
C’était par le biais des arts divinatoires et les jeux de cartes.
Aujourd’hui, les oracles foisonnent. Une de mes amies parlait de cartomancienne. Nous sommes toujours curieux de SAVOIR.
Mais il n’y pas que le tarot de Marseille. Pour moi, il a été révélateur, révélateur de ce que je vivais. Personne, quand j’étais ado n’y prêtait attention. On me disait perchée, dans mon monde. Que j’étais comme « ça ».
Plus que tout, c’est ce « ça » que je n’aimais pas
Communiquer et...
Si tu as lu ce que j’ai écrit dans mon article précédent, effectivement, je t’ai laissé avec ma découverte d’un monde parallèle comme je le disais et ce monde, curieusement, ma faisait voir ce qui existait déjà mais que je ne voyais pas.
Je ne parle pas d’esprits, d’entités ou de lutins ou encore d’aliens, non, je parle du quotidien.
Comme un mur de pierres devant lequel on passe chaque jour et qu’on « voit » un matin en se disant : il a toujours été là ce mur ? Et notre esprit logique et qui veut toujours avoir raison répond « il a pu être construit dans la nuit » jusqu’à ce que l’évidence tue cette croyance ; le pont a toujours été là.
Ce quotidien tue nos sens.